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La Convention des Assemblées de Dieu de Côte d’Ivoire a rassemblé plus de 45 000 chrétiens

Vue du stade de la Paix de Bouaké avec une scène et des tribunes pleines
© 13e Convention nationale des Assemblées de Dieu de Côte d'Ivoire / Facebook
Du 27 août au 1er septembre, Bouaké a accueilli la 13e Convention nationale de l'Eglise évangélique des Assemblées de Dieu de Côte d'Ivoire. Le thème choisi était: «Le réveil pour une Église missionnaire, unie, forte et conquérante».
Geoffrey Leplang

Ils sont venus de tout le pays. Bouaké, ville du centre de la Côte d’Ivoire, a été l’hôte de la 13e Convention nationale de l’Eglise évangélique des Assemblées de Dieu (EEAD). L’événement, se déroulant au stade de la Paix, a rassemblé plus de 45 000 chrétiens du 27 août au 1er septembre, selon l’Agence ivoirienne de presse (AIP). Le thème choisi par l’organisation était: «Le réveil pour une Eglise missionnaire, unie, forte et conquérante».

Honoré Daplex Honoré Ouentchist, président du Bureau exécutif de l’EEAD de Côte d’Ivoire, a souligné que cette convention nationale est «un moment spirituel d’une grande envergure, permettant une rencontre privilégiée avec le Seigneur Jésus-Christ», rapporte l’AIP.

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«Un véritable moment de communion fraternelle»

Le comité d’organisation de l’événement était présidé par le pasteur Jean Marie Tiacoh, «un enseignant reconnu dans le monde évangélique en Côte d’Ivoire», selon TopChrétien. En marge de la présentation de l’événement en février, il déclarait vouloir que cette convention «apporte l’assurance d’un leadership de l’EEAD dans le domaine de la proclamation de l’évangile de pureté, de sainteté, et [en maintenant] l’Eglise dans la flamme du pentecôtisme». L’organisation avait notamment invité le pasteur américain Billy Nickell qui a déclaré: «Notre cœur a besoin d’un réveil pour détester le péché et se dresser contre les œuvres du diable.»

Les six jours du rassemblement, parsemé de louanges, de prières, de guérisons et de la reconnaissance du ministère de nouveaux pasteurs, se sont conclus par un culte d’apothéose. «C’était un véritable moment de communion fraternelle, où la joie débordante a envahi nos cœurs, et la présence du Saint-Esprit s’est faite puissamment ressentir», précise la page Facebook de l’événement.

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