L’entente des Communautés et assemblées évangéliques de France (CAEF) veut faire «parler l’ADN» de l’Eglise. Elle organise pour ce faire un congrès, qui se tiendra du samedi 18 au lundi 20 mai, week-end de Pentecôte. Cette invitation à l’Eglise Le Chandelier de Grenoble (Isère) s’adresse à tous les chrétiens intéressés par ce thème.

Jacques Nussbaumer, vice-doyen de la Faculté libre de théologie évangélique de Vaux-sur-Seine, y animera trois conférences: « « Je crois en l’Eglise »… Vraiment?», «L’Eglise, une christocratie?» et enfin «L’Eglise Une, ou comment assumer notre ADN?». Mais aussi, une session collaborative – une discussion interactive pour travailler sur ces questions en temps réel – est prévue. Vingt ateliers au choix, des temps pour prier et louer Dieu et bien sûr des partages d’expériences complètent le programme, annoncent les organisateurs dans une présentation.

L’accent est résolument mis sur l’unité d’une Eglise comme «rassemblement de chrétiens en communion». L’objectif en sortant du congrès est en effet d’avoir «une vision ajustée de l’Eglise» et d’avoir réfléchi davantage aux relations dans et entre les communautés chrétiennes, «en nous remettant au diapason du projet de Dieu et de la mission qu’il (lui) confie». Les CAEF sont une centaine en France. Leurs membres cherchent à se rapprocher des principes de vie des premiers chrétiens tout en s’alignant sur l’héritage de la Réforme protestante, avec une sensibilité anabaptiste. Les inscriptions sont ouvertes sur congres.caef.net

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