Skip to content

Culture: Thierry Ntamack se convertit et se lance dans la production de films chrétiens

Thierry Ntamack avec une chemise bleue, les mains levées vers le ciel
© Thierry Ntamack/Facebook
Passé par le Cours Florent (Paris), l'acteur et réalisateur camerounais Thierry Ntamack a révélé s'être converti. Il souhaite désormais se consacrer à la production de films chrétiens.
Geoffrey Leplang

Il était déjà connu pour ses films «Le Blanc d’Eyenga», «La patrie d’abord» ou encore «Ne crains rien je t’aime». Thierry Ntamack (46 ans) a annoncé, le 6 février, qu’il consacrait son temps et son énergie à la production de films chrétiens. «Je me suis beaucoup inspiré des films évangéliques comme «War Room», «Courageous», «Fireproof» avec les frères Kendrick», a déclaré l’acteur, scénariste et réalisateur camerounais dans une vidéo partagée sur WhatsApp et Facebook le 19 février.

«Un bon film chrétien est avant tout un bon film»

Publicité

«Je suis très ravi (sic) de partager ceci avec vous: Lors de notre dernière nuit de prière et d’adoration, j’ai reçu un grand cadeau du Seigneur, celui de m’inspirer officiellement Maranatha Productions», se réjouit-il. Il précise: «Le label Maranatha Productions a pour but d’annoncer l’Evangile à travers les films, peu importe la confession. L’idée, c’est de faire régulièrement des films pour la gloire de Dieu et pour le bonheur des chrétiens et non-chrétiens. Un bon film chrétien est avant tout un bon film.»

Après des études en arts du spectacle à l’Université de Yaoundé, Thierry Ntamack a continué sa formation en France au célèbre Cours Florent (Paris). «Je me sens investi de cette mission-là: faire des films qui célèbrent des valeurs chrétiennes comme l’amour, la famille, le pardon, la réconciliation et la miséricorde», ajoute-t-il sur Facebook où il est suivi par 124 000 personnes. Son premier film d’inspiration chrétienne sera projeté au Palais des Congrès de Yaoundé le 1er mars à 19h. Il s’intitule «Eva’a Metaé», formulation en langue fang-beti difficile à traduire que l’on pourrait comprendre comme «l’enlèvement des mauvais sorts». Thierry Ntamack résume ce film avec trois verbes: honorer, réparer et restaurer.

Rédigé par Geoffrey Leplang, relu par Charlotte Moulin

>>L’auteur du tube «Despacito» quitte la musique pour «suivre Jésus-Christ»

>>Une série sur les rois David et Saül bientôt sur Amazon Prime Video

Thèmes liés:

Publicité