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COP26: Les organismes chrétiens d’écologie déçus par des engagements jugés trop faibles

Image du haut d'une colline,. Il y a trois arbres tortueux et penchés. Les feuillages en haut des branches donnent un peu l'impression d'une forme de parapluie.
© Pixabay
Les organisations chrétiennes d’écologie, bien représentées durant la COP26 du 31 octobre au 12 novembre, estiment que les engagements pris par les gouvernements en faveur du climat sont trop faibles. Ils attendent des décisions et des actes concrets.
Evangéliques.info

Les engagements du pacte de Glasgow suite à la COP26 sont considérés comme trop peu nombreux et peu significatifs par les organisations chrétiennes caritatives. «Les intentions sont meilleures qu’avant, mais les engagements auraient pu être plus forts», relaye Christian news le 14 novembre. La COP26 s’est déroulée du 31 octobre au 12 novembre.

Ruth Valerio, directrice mondiale de Tearfund, organisme chrétien de lutte contre la pauvreté par le développement durable, était présente durant les conférences. Elle a ainsi déclaré: «La COP26 n’a pas tenu les promesses attendues depuis longtemps, ni tenu compte des grands cris des nations vulnérables au climat.» Selon elle, «pour le moment, ce ne sont que des mots».

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En attente d’actes concrets

Pour A rocha Royaume-Uni, «le succès ou l’échec ultime de la COP26 dépendra de ce qui se passera ensuite», lit-on dans une publication de cette organisation chrétienne de protection de la nature. D’après cet article du 15 novembre, les membres attendent des actes concrets. Ils ont une perspective plutôt pessimiste, notamment concernant des implications pour brider le réchauffement climatique à +1,5°. L’organisme affirme cependant que «ce que nous -citoyens et gouvernements- ferons au cours des douze prochains mois sera probablement décisif».

Adoption des «solutions basées sur la nature»

Point positif, une action proposée en amont par A rocha, qui consiste en des «solutions basées sur la nature» (la reforestation par exemple), a été adoptée. Ce qui entraînera, selon l’organisme, «de multiples avantages pour le climat, la biodiversité et les moyens de subsistance des populations».

A rocha Royaume-Uni projette également de continuer à faire pression sur le gouvernement britannique, notamment en demandant des comptes des engagements pris suite au pacte de Glasgow.

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