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Musique: Sur le fond comme sur la forme, la fresque «Jésus, de Nazareth à Jérusalem» tient toutes ses promesses

© © Alliance Presse
Sur le fond comme sur la forme, la fresque musicale «Jésus, de Nazareth à Jérusalem» tient toutes ses promesses. Le 22 octobre, les 4500 places du Dôme du Palais des Sports à Paris étaient quasiment toutes occupées. Parmi les spectateurs, des familles, parfois regroupant trois générations, mais aussi des jeunes, des groupes de retraités venus voir et écouter l'histoire de Jésus-Christ mise en musique par le compositeur-interprète Pascal Obispo et en scène par Christophe Barratier (les Choristes). Qui est réellement ce Jésus entouré de mystère ? Un simple rebelle, un vulgaire charlatan? Ou le Messie que les prophètes ont annoncé depuis la nuit des temps? Et pourquoi marche-t-il désormais sur Jérusalem? A ces questions, le duo Obispo-Barratier a choisi de répondre en restant au plus près du message et des textes des Evangiles, dans le contexte de lutte de pouvoir entre les Romains et les chefs religieux de l'époque. Les chants «Aimez-vous les uns les autres», «La Bonne Nouvelle, c'est lui», «Mon Père», «Un nouveau commencement», les danses, les décors et costumes, tout est à la fois sobre et magnifique dans cette fresque construite en plusieurs tableaux. On entre dans l'histoire avec le baptême de Jésus puis sa tentation au désert avant de le retrouver s'interposant pour sauver la femme adultère. Puis c'est la montée à Jérusalem, son accueil sous les «hourras» de la foule, sa colère face aux marchands du Temple, le dernier repas avec ses disciples et son arrestation par les Romains, après la trahison de Judas.... Un final tout en beauté ne laisse pas indifférent même un incroyant.
Evangéliques.info

Sur le fond comme sur la forme, la fresque musicale «Jésus, de Nazareth à Jérusalem» tient toutes ses promesses. Le 22 octobre, les 4500 places du Dôme du Palais des Sports à Paris étaient quasiment toutes occupées. Parmi les spectateurs, des familles, parfois regroupant trois générations, mais aussi des jeunes, des groupes de retraités venus voir et écouter l’histoire de Jésus-Christ mise en musique par le compositeur-interprète Pascal Obispo et en scène par Christophe Barratier (les Choristes).
Qui est réellement ce Jésus entouré de mystère ? Un simple rebelle, un vulgaire charlatan? Ou le Messie que les prophètes ont annoncé depuis la nuit des temps? Et pourquoi marche-t-il désormais sur Jérusalem? A ces questions, le duo Obispo-Barratier a choisi de répondre en restant au plus près du message et des textes des Evangiles, dans le contexte de lutte de pouvoir entre les Romains et les chefs religieux de l’époque. Les chants «Aimez-vous les uns les autres», «La Bonne Nouvelle, c’est lui», «Mon Père», «Un nouveau commencement», les danses, les décors et costumes, tout est à la fois sobre et magnifique dans cette fresque construite en plusieurs tableaux.
On entre dans l’histoire avec le baptême de Jésus puis sa tentation au désert avant de le retrouver s’interposant pour sauver la femme adultère. Puis c’est la montée à Jérusalem, son accueil sous les «hourras» de la foule, sa colère face aux marchands du Temple, le dernier repas avec ses disciples et son arrestation par les Romains, après la trahison de Judas…. Un final tout en beauté ne laisse pas indifférent même un incroyant.

Parmi les comédiens, le chanteur et comédien libanais Mike Massi interprète un Jésus criant de vérité, alliant amour et force. Par ailleurs, on retrouve Anne Sila (en finale de The Voice 4) et sa voix cristalline dans le beau rôle de Marie, Olivier Blackstone pour le fougueux Pierre, Laurent Solal (Leopold Mozart dans Mozart l’Opéra rock) en Ponce Pilate, Jeff Broussoux pour le rôle du grand prête Caïphe et la voix époustouflante de Crys Nammour en Marie-Madeleine.

Initialement prévu jusqu’au 19 novembre à Paris, le spectacle a été prolongé jusqu’au 10 décembre au Palais des Sports puis la troupe partira en tournée dans plusieurs villes de France et Belgique.

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