Le décret présidentiel en vue des élections municipales du 8 octobre a suscité de vives critiques de la part du Hamas.
Le 1er août, le document signé par Mahmoud Abbas instaurait un quota minimum de représentants chrétiens. Celui-ci réserve 67 des 3848 sièges des conseils locaux aux chrétiens. Et dans neuf districts, une majorité chrétienne doit être garantie au conseil local, selon une information de The Times of Israël.
Il n’en fallait pas moins pour que le Hamas publie un communiqué dans lequel il dénonce «une violation du processus électoral et une tentative d’influencer son résultat.