Dans le cadre du séminaire «Discerner les temps qui viennent», un peu plus de 200 chrétiens se sont mobilisés dans la prière, le 17 septembre, pour la paix de Jérusalem et pour Israël.
Les participants ont été exhortées par le couple Corinne et Jean-Louis Lafitte à prier à la fois pour Israël, ses habitants et ses dirigeants, ainsi que pour les nations appelées à décider du sort la résolution palestinienne devant l’Assemblée générale de l’ONU, vendredi 23 septembre à New York.
En duplex depuis New York le temps d’une interview, Thomas Sandell, de la Coalition européenne pour Israël, a lui aussi demandé aux chrétiens du monde entier à prier pour que les Etats ne précipitent pas la reconnaissance d’un Etat palestinien. «L’alliance de Dieu avec le Peuple d’Israël a été confirmée à San Remo, en 1920, lorsque la connexion entre le peuple et la terre ont été reconnus», a-t-il rappelé. Mais aujourd’hui, «c’est comme si une tornade déferlait sur le monde arabe et se déplaçait sur Jérusalem», a imagé Jean-Louis Lafitte pour expliquer la situation actuelle.
Ce dernier a d’ailleurs prévenu que si Jérusalem passait sous contrôle palestinien, «des monuments juifs historiques seraient détruits, comme ce fut le cas entre 1948 et 1967». 55 synagogues et écoles talmudiques ont été détruites durant cette période.