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Justice: Laurent Gbagbo remercie Dieu pour l’assouplissement de ses conditions de mise en liberté

© © Bamako news
Le 28 mai, la Chambre d’appel de la Cour Pénale Internationale (CPI) a modifié les conditions de mise en liberté de Laurent Gbagbo, rapporte le média ivoirien l’Infodrome. La Chambre d’appel a révoqué quatre conditions qui étaient imposées à l’ancien président de Côte d’Ivoire, qui affiche depuis longtemps sa foi chrétienne, ainsi qu’à Charles Blé Goudé, ex-chef du mouvement des Jeunes Patriotes. Parmi les conditions révoquées, l’interdiction de se déplacer en dehors des limites de la municipalité où ils résident dans leur pays d’accueil. Par ailleurs, les deux hommes ne sont plus tenus de remettre leurs pièces d’identité au Greffe, de se présenter chaque semaine auprès des autorités ou de se conformer à toute autre condition imposée par l’État qui les accueille.
Evangéliques.info

Le 28 mai, la Chambre d’appel de la Cour Pénale Internationale (CPI) a modifié les conditions de mise en liberté de Laurent Gbagbo, rapporte le média ivoirien l’Infodrome. La Chambre d’appel a révoqué quatre conditions qui étaient imposées à l’ancien président de Côte d’Ivoire, qui affiche depuis longtemps sa foi chrétienne, ainsi qu’à Charles Blé Goudé, ex-chef du mouvement des Jeunes Patriotes.
Parmi les conditions révoquées, l’interdiction de se déplacer en dehors des limites de la municipalité où ils résident dans leur pays d’accueil. Par ailleurs, les deux hommes ne sont plus tenus de remettre leurs pièces d’identité au Greffe, de se présenter chaque semaine auprès des autorités ou de se conformer à toute autre condition imposée par l’État qui les accueille.

C’est depuis Bruxelle que Laurent Gbagbo a réagi à cette décision de justice, pour laquelle il remercie Dieu. «Pendant cette crise, j’ai vraiment vu les œuvres du Seigneur. Il faut l’adorer, il faut croire en lui. Ayons foi en lui et prions. Il ne nous abandonnera pas», a-t-il témoigné sur sa page Facebook.

Pour rappel, la CPI a acquitté Laurent Gbagbo et son compatriote en janvier 2019 des crimes contre l’humanité pour lesquels ils étaient poursuivis. Ils avaient été arrêtés en 2011, suite aux violences post-électorales en Côte d’Ivoire, qui avaient fait plus de trois mille morts en cinq mois.

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