Le 26 février, un séminaire grec-orthodoxe de Jérusalem a été incendié et ses murs couverts de tags racistes, blasphématoires et ultra-nationalistes juifs. La veille, une mosquée près de Bethléem avait subi le même sort. Dans les deux cas, l’incendie a pu être rapidement maîtrisé.
Le maire de la ville, Nir Barkat, et la police ont assuré que l’enquête serait menée avec sérieux et que les coupables seraient condamnés. Ce genre d’agressions, récurrentes en Isräel, sont généralement le fait de mouvements extrêmistes juifs. La police et les autorités sont accusés par les chrétiens et musulmans de ne pas donner souvent assez de poids aux enquêtes.