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Barna analyse la religiosité des homosexuels

Le comportement religieux des homosexuels diffère de celui des hétérosexuels. Tel est le résultat du dernier sondage de l'Institut américain Barna, portant sur la religiosité des homosexuels aux Etats-Unis. La proportion de personnes sondées qui n'avaient aucun lien avec une Eglise était de 42% chez les homosexuels contre 28% chez les hétérosexuels (soit le double). Sur une semaine donnée, 31% des hétérosexuels interrogés fréquentaient un rassemblement chrétien, le catéchisme, priaient ou lisaient la Bible, contre 15% des homosexuels.

Le comportement religieux des homosexuels diffère de celui des hétérosexuels. Tel est le résultat du dernier sondage de l’Institut américain Barna, portant sur la religiosité des homosexuels aux Etats-Unis. La proportion de personnes sondées qui n’avaient aucun lien avec une Eglise était de 42% chez les homosexuels contre 28% chez les hétérosexuels (soit le double). Sur une semaine donnée, 31% des hétérosexuels interrogés fréquentaient un rassemblement chrétien, le catéchisme, priaient ou lisaient la Bible, contre 15% des homosexuels.

La plus grande différence entre homo- et hétérosexuels dévoilée par le sondage concerne la notion de Dieu. 70% des hétérosexuels interrogés avaient une vision de Dieu «classique» (conforme au donné biblique), contre 43% des homosexuels. Une égale proportion de vues panthéistes (tout le monde peut être divin) se retrouvait toutefois dans les deux groupes.

Une majorité d’homosexuels ont cependant indiqué que la foi était un aspect central de leur vie, se considèrent chrétiens et revendiquent une forme d’engagement personnel envers Jésus-Christ.

«Notre enquête a montré que des millions d’homosexuel-le-s ont un intérêt pour la foi mais pas pour la communauté chrétienne locale; ils n’ont pas une foi traditionnelle», a commenté George Barna. «Clairement, les adultes gay ont une autre manière d’aborder la Bible et certaines notions centrales, comme la personne de Dieu. Les homosexuels apprécient leur foi mais n’en font pas une priorité. Ils ont tendance à considérer la foi comme une affaire privée plutôt que communautaire». Pour George Barna, ces tendances sont aussi présentes chez les hétérosexuels, quoique moins nettement que chez les homosexuels.

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