Le 9 mars, le président américain a levé les restrictions concernant la recherche sur les cellules souches embryonnaires. Dans sa déclaration, il s’est formellement positionné contre le clonage reproductif, qu’il considère dangereux. Mais il ne s’est pas opposé au clonage d’un embryon dans le but de prélever des cellules souches. Pour David Prentice, docteur en sciences de la vie au «Family Research Council», le président Obama «a laissé grande ouverte la porte à cette sorte de clonage, mais aussi aux embryons hybrides et autres choses de ce genre».
Selon le New York Times, le congrès devrait suivre l’exemple d’Obama et lever l’interdiction de manière à ce que ces recherches bénéficient d’injection de fonds fédéraux.