Sur douze pages, le dossier s’ouvre sur quatre pages d’un parcours historique qui montre les liens étroits entre la Bible et l’iconographie occidentale dont elle a été la plus grande source d’inspiration, depuis les modestes peintures des catacombes romaines jusqu’aux Bibles d’enfants du 20e siècle.
Puis viennent quatre articles centrés sur des illustrateurs modernes de la Bible, qui ont ceci de commun et ce n’est sans doute pas anodin: un style épuré au maximum ou enfantin. C’est le cas d’Andreas Felger (ses traits au crayon paraissent dans un Bible avec la traduction de Martin Luther), d’Annie Vallotton et de Kees de Koort. Finalement, un quatrième artiste a choisi l’expression de la bédé, c’est Rüdiger Pfeffer.
La deuxième partie du journal, sur huit pages, est consacrée aux actualités: une exposition biblique à Moscou dans les locaux de la Douma (c’est la première fois et c’est tout un symbole), les cinquante ans de la mission évangélique Braille, la pauvreté spirituelle au Nicaragua et des nouvelles de la Société biblique elle-même. (JR)