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People: Matthew Perry révèle ses moments de prière dans sa nouvelle autobiographie

Matthew Perry
© ABC / YouTube - Matthew Perry parle de ses addictions dans l'émisssion Good morning America
L’acteur Matthew Perry, alias Chandler dans la série «Friends», a signé une autobiographie parue le 10 novembre. Au cours d’une vie presque entièrement marquée par la dépression et les addictions, l’acteur de 53 ans relate des moments de prière.
Evangéliques.info

Matthew Perry, connu pour son rôle de Chandler Bing dans la série Friends au succès planétaire, a signé un livre autobiographique paru le 10 novembre en français aux éditions Michel Lafon. Dans Friends, mes amours et cette chose terrible, l’acteur américano-canadien de 53 ans retrace son parcours depuis une enfance instable jusqu’à son chemin vers la sobriété, après des décennies d’une intense dépendance à l’alcool et aux drogues, qui a failli lui coûter la vie en 2018. C’est également la première fois qu’il parle de moments de prière importants dans sa vie.

Dès les premières pages, il avoue qu’il est encore terrifié à l’idée d’être seul. «J’ai murmuré: “Dieu, aide-moi. Montre-moi que tu es là”», écrit-il en se rappelant un moment particulièrement sombre, plongé dans une dépression sévère et continuelle. Il a ensuite pleuré intensément. «Je ne pleurais pas parce que j’étais triste. Je pleurais parce que pour la première fois de ma vie, je me sentais bien. Je me sentais en sécurité, pris en charge. Des décennies à combattre contre Dieu, et à lutter avec la vie et la tristesse, tout était enlevé, comme une rivière de douleur tombée dans l’oubli», témoigne-t-il.

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Sobriété et vérité, un combat perpétuel

Dieu lui aurait montré à cet instant «un fragment de ce que pouvait être la vie», et l’aurait lancé sur la route d’une recherche de sobriété et de vérité, mais aussi spirituelle. La première fois, il avait prié à l’âge de 14 ans, après avoir bu son premier verre de vin, pour devenir célèbre.

Matthew Perry a en effet failli mourir à 49 ans, quand son côlon a éclaté à cause d’une surconsommation d’opioïdes. Avec 2% de chances de survie, relate-t-il, il a passé deux semaines dans le coma, et cinq mois à l’hôpital. Le livre, au langage souvent fleuri, est le récit d’un combat sans cesse renouvelé. L’éditeur décrit néanmoins un ouvrage honnête, drôle et plein d’anecdotes, et «une main tendue vers ceux qui luttent contre l’addiction».

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