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Culture : Dans un docu-série Netflix, Pharrel Williams retourne à l’Eglise pour recruter des candidats à une chorale gospel

Le visuel de la série Netflix 'A choeur ouvert'
© Netflix
Dans «A chœur ouvert», un docu-série diffusé à partir du 20 novembre sur Netflix, Pharrel Williams retourne dans l’Eglise de son enfance, en Virginie. Il aide son oncle pasteur à la formation d'une chorale gospel.
Evangéliques.info

Dans «A chœur ouvert», un docu-série diffusé à partir du 20 novembre sur Netflix, l’artiste et producteur de musique Pharrel Williams retourne dans l’Eglise de son enfance, à Hampton Roads, en Virginie. Il assiste son oncle, le pasteur Ezekiel Williams et le chef de choeur Patrick Riddick dans le recrutement de 75 candidats pour former une chorale gospel multiculturelle. 

Tout au long de la série documentaire, Pharrel Williams, 47 ans, porte un sweat à capuche avec le message «Vous devez être né de nouveau», note Christian Post. L’artiste mondialement connu utilise souvent un langage chrétien lorsqu’il s’adresse à son oncle ou aux chanteurs. 

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Dans un entretien avec Christian Post, Patrick Riddick, le chef de choeur est revenu sur l’expression de la foi chrétienne – relativement nouvelle – de l’interprète du tube «Happy». «Pharrell et moi avons grandi ensemble dans la même Eglise : l’Eglise Pentecôtiste de la Sainteté». Le chef de choeur souligne que Pharrel Williams a baigné dans ce milieu chrétien et commencé la musique à l’Eglise, avant de quitter cet univers. «Cela nous a tous amenés à nous demander: « Se souvient-il de tout cela? Reconnaît-il quelque chose de tout cela? Que pense-t-il? »», rapporte Patrick Riddick. 

«C’est vraiment Pharrell qui dit ça?»

Il poursuit : «Puis nous voici dans la série et ça sort. Cela vous montre que la Bible dit vrai. Elle recommande de former un enfant et de lui montrer le chemin qu’il doit prendre ; ainsi, quand il sera plus âgé, il ne partira pas. Cette série sort et je me dis simplement : « Yo, c’est vraiment Pharrell qui dit ça ? C’est en lui, oui Seigneur ! »»

Le chef de choeur témoigne en outre de la manière dont Dieu a «veillé» sur la sélection des membres de cette chorale hors normes. «Il y a des personnes que nous avons gagnés, qui n’avaient jamais chanté l’Evangile auparavant, qui ne l’avaient pas compris», souligne encore Patrick Riddick. «Elles étaient touchées comme vous ne le croiriez pas, les larmes coulaient. Elles disaient: « Je veux plus que ça. C’est ce que je veux faire. Je ne veux rien chanter d’autre. Je veux rester. »» 

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