Skip to content

Islande: Près de 100% des bébés atteints de trisomie 21 sont avortés

© © DR
L'Islande a presque «aboli» la trisomie 21. Quasiment tous les bébés atteints du syndrome de Down sont avortés dans ce pays. Et c'est également le cas dans d'autres pays occidentaux, depuis que l'amélioration des tests prénataux permet de diagnostiquer plus facilement cette différence génétique. «Bien que la plupart des personnes nées avec la trisomie 21 vivent une vie longue et saine, la plupart des mères des pays occidentaux choisissent l'interruption de grossesse», précise un article de Livrent du 31 août. Au Danemark, c'est le cas dans 98% des cas et 70% aux Etats-Unis.

L’Islande a presque «aboli» la trisomie 21. Quasiment tous les bébés atteints du syndrome de Down sont avortés dans ce pays. Et c’est également le cas dans d’autres pays occidentaux, depuis que l’amélioration des tests prénataux permet de diagnostiquer plus facilement cette différence génétique.
«Bien que la plupart des personnes nées avec la trisomie 21 vivent une vie longue et saine, la plupart des mères des pays occidentaux choisissent l’interruption de grossesse», précise un article de Livrent du 31 août. Au Danemark, c’est le cas dans 98% des cas et 70% aux Etats-Unis.

«Ce n’est pas un progrès, c’est de l’eugénisme et de la barbarie», avance Penny Nance du mouvement «Concerned Women for America» (les Femmes concernées par l’Amérique). D’autres voix, comme celle de l’artiste paraplégique et chrétienne engagée Joni Tada Eareckson, s’élèvent pour affirmer que la vie avec la trisomie 21 vaut la peine d’être vécue: «Les personnes atteintes du syndrome de Down sont parmi les plus heureuses de la terre. De leur part, nous apprenons l’amour et l’acceptation, de ceux qui sont différents de nous. Maintenant nous risquons de tout abolir»

Par ailleurs, une enquête menée aux Etats-Unis auprès de parents d’enfants trisomiques soulignent que 99% d’entre eux aiment leur enfant et presque tout autant en sont fiers. 79% vivent la présence de leur enfant comme un un apport positif dans leur vie.
Eux aussi interviewés, les enfants concernés (de plus de 12 ans) ont été 99% à affirmer être heureux avec leur trisomie, même s’ils peuvent aussi souffrir de leur apparence.

Publicité