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France: Le rassemblement évangélique de Mulhouse a été accusé à tort, souligne une enquête de Paris Match

© Image d'illustration © Capture Vimeo / Porte Ouverte Chrétienne et Philadelphie
Les membres de l’Eglise de la Porte Ouverte Chrétienne de Mulhouse, ses dirigeants et tous les participants à la semaine de jeûne et prière qui a eu lieu en février ne sont pas responsables de la «folle accélération de l’épidémie de coronavirus en France». Ils n’ont été que des boucs émissaires. C’est ce qu’indique noir sur blanc Paris Match qui a mené l’enquête, dans un article du 20 mai, études scientifiques à l’appui.
Evangéliques.info

Les membres de l’Eglise de la Porte Ouverte Chrétienne de Mulhouse, ses dirigeants et tous les participants à la semaine de jeûne et prière qui a eu lieu en février ne sont pas responsables de la «folle accélération de l’épidémie de coronavirus en France». Ils n’ont été que des boucs émissaires. C’est ce qu’indique noir sur blanc Paris Match qui a mené l’enquête, dans un article du 20 mai, études scientifiques à l’appui.

L’hebdomadaire rappelle qu’aucune consigne particulière n’avaient été communiquée au moment du rassemblement et souligne la réactivité de Jonathan Peterschmitt, medecin généraliste et le fils du pasteur principal de la Porte Ouverte Chrétienne Samuel Peterschmitt. L’Eglise mulhousienne n’a été qu’un maillon de la chaîne de transmission du virus et non pas la «bombe atomique» responsable de la contamination de toute une région et même tout un pays. Ainsi, une étude menée par le médecin chef du département d’imagerie médicale à l’hôpital Albert-Schweitzer de Colmar atteste que le Covid-19 circulait dès le 16 novembre dans la ville, lieu hautement touristique pour de nombreux chinois.

Cette enquête montre en creux un manque de réactivité de la part des autorités et confirme les observations de Jonathan Peterschmitt dans son manifeste.

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